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 Naturopathe Nutritionniste Ariège

Naturopathe Nutritionniste Ariège

Jean-Claude Dosseto Expert en médecine Naturelle. Diplômé en médecine fonctionnelle et nutritionnelle, Phytothérapie & Aromathérapie, consultation et formation. Contact : 0641231014 jeandosseto@gmail.com


Que devons-nous réellement manger ?

Publié par jean claude Dosseto/Naturopathe Nutritionniste sur 12 Juillet 2019, 08:12am

Catégories : #10 clés pour se sentir vivant avec l'alimentation vivante !, #alimentation vivante

Que devons-nous réellement manger ?

 
Vous êtes-vous déjà posé la question ?


Vastes débats, qui donnent lieu à de nombreuses théories, d’innombrables régimes et méthodes. On nous en sort de nouveaux chaque année, et il faut même parfois payer très cher pour avoir le droit de connaître l’alimentation qui nous serait la plus adaptée et qui nous permettrait de vivre une vie longue et joyeuse !


Végétarien, végétalien, frugivore, crudivore, vegan,  macrobiotique, paleo,  etc..

  
Ces modes alimentaire sont d'ordre idéologique et peuvent être bon et mauvais pour notre santé !!!!!!!!


Nous voyons ces dernières années émerger une véritable quette vers le modèle alimentaire le plus protecteur pour la santé : régime crétois, végétarien, végétalien, seignalet, paléo ...croire qu'un seul modèle alimentaire puisse être la solution à tout un chacun est aussi une erreur.

Chaque cas est unique et il est nécessaire de le prendre comme point de départ pour trouver l'alimentation la plus favorable dans le but de maintenir ou retrouver la santé, de plus en aucun cas il faut se forcer à consommer un aliment qui ne vous convient pas, sous prétexte qu'il apporte tel ou tel nutriment. Les dégâts, notamment inflammatoire causés par une hypersensibilité alimentaire sont bien supérieurs aux bénéfices liés aux nutriments qu'ils apportent.


Force est de constater que, dans sa totale perfection, le corps humain s’adapte extrêmement bien à différents régimes, même les plus extrêmes. 
Mais combien de temps ? 


A quel prix sur le long (voire le moyen) terme ?


On voit apparaître généralement des désordres physiologique:


1) faire réagir le système immunitaire de façon inadaptée.


2) encrasser les cellules et perturber leur fonctionnement (maladies d'encrassement cancers, rhumatologie, neuropsychiatrique, métabolisme).


3) saturer les émonctoires de l'organisme qui sont les voies naturelles d'élimination: la peau, les poumons, les reins, le foie, le grs intestin, la saturation des déchets à éliminer entraîne l'inflammation de l'émonctoire et son dysfonctionnement, qui se manifeste comme une bronchite, un eczéma ou plus grave une maladie de crohn.


4) la détérioration de l'intestin grêle et rendu poreux par certains aliments (gluten moderne, céréales raffinées, soja sauf fermenté, et par les substances chimiques ( médicaments comme les antibio, les anti inflammatoire AINS, pesticides, herbicides, additif alimentaire. 


Nous ne devons pas seulement nous poser la question de l’alimentation qu’est capable de tolérer le corps humain, qui lui permet de survivre jusqu'à 80 ans dans les conditions que l'on connait aujourd'hui , mais plutôt se poser la question de l’alimentation qui permettrait à l’homme de vivre heureux et en bonne santé, jusqu'aux derniers jours.


Quel est le bon carburant qui permettrait un fonctionnement optimal du corps, jusqu'aux derniers jours de sa vie ?


Pour répondre à cette questions nous devons savoir quel est le régime alimentaire de l’être humains, celui pour lequel il a été programmer.


Sur quoi se baser pour définir quel est le régime alimentaire spécifique à l’espèce humaine ? 


Sur le fait que des générations et des générations ont consommé toute une variété d’aliments mélangés sans en mourir sur le champ ? 


Sur le fait que l’homme des cavernes aurait fait des festins composés de viande de mammouth ?


Sur le fait que nos arrière-grands-parents consommaient déjà du pain et du bœuf bourguignon, du fromage etc.....?


Nos grands parents avaient l' intestins grêle en parfait état en comparaison des nôtres, aujourd'hui nos intestins sont dans un mauvais état parce que notre environnement et les  aliments sont saturées de polluants divers ( air et eau) et parce que nous avons une consommation chronique de médicaments qui est considérée comme normale ( 40 boites par an et par habitants) toute ces nouvelles pollution engendre intoxication et des perturbations physiologique importante.


l'accumulation des ces polluants amène à l'acidose tissulaire ( accumulation de dépôts de matières et déchets toxiques dans nos tissus, et conduit à l' agression des muqueuses et tissus donc de l'inflammation et à la déminéralisation.

 
mais aussi à la déficience immunitaire par déséquilibre du microbiote intestinal, et au ralentissement enzymatiques.


des problèmes neurologique par la dysbiose.


de plus aujourd'hui le stress fait partie intégrante de notre mode de vie et de ce fait engendre une déminéralisation importante ( magnésium, potassium par fuite urinaire).


Sur l'apport de magnésium exemple:


Dans les années 1960 500g de pain/j apporté 690 mg/J de magnésium en 2000 la consommation est de 200g/J et apporte 50 mg/J de magnésium. avant 100g apporté 138mg de mg, aujourd'hui 100gr = 25mg/mg, c'est 5,5 fois moins. 


Il faut tenir compte aujourd'hui des pollutions que ne voyons pas celle des ondes, réseaux gsm, wifi, compteur intelligent, appareils électrique, et des perturbateur endocrinien  etc....


C'est par rapport à cette environnement de plus en plus toxique que nous devons aujourd'hui avoir une alimentation saine et équilibré qui permet de répondre à cette pollution exponentiel ( rapide et continue).
 

Est-ce que le fait d’observer qu’il y a deux millions d’années, l’homme se nourrissait d’une certaine manière est suffisant pour en déduire que ce qu’il mangeait été le régime naturel (donc adapté) de l’homme ? 


le régime paléolithique: 35% de viande 65%de fruits et légumes
Régime contemporain: viande 11%, fruits et légumes 15%, produits laitiers 11%, céréales 27,5%, aliments de faible densité nutritionnelle 35,5%.


Notre alimentation contemporaine est trop riche en aliments acidifiants: céréales raffinées, protéines animales ( viandes, laitages...), aliments salés et sucrés, alimentation transformée.... cette alimentation bouleverse l'équilibre minéralo-ionique, trop de sodium et manque de minéraux alcalinisants.


les groupes à risque d'acidose tissulaire: adolescent, adulte stressé, sédentaire, sportif intensif, petit mangeur de fruits et légumes, seniors.


Nous avons fait le tour sur l'alimentation d'aujourd'hui, donc les différents mode alimentaire comme le végan, végétarien paléo etc... nous avons vu que nous nous adaptons à cette alimentation moderne mais à quel prix,  nous avons comparé notre époque et celle ne nos anciens jusqu'au paléolithique.


Mais aucune de ces observations ne nous donne de certitude sur ce qu’est l’alimentation spécifique de l’être humain. 


Par contre, lorsqu’on s’intéresse à l’anatomie comparée de plusieurs espèces animales, en fonction de leur régime alimentaire, on s’aperçoit de certaines similitudes avec l’anatomie de l’homme. Dans diverses études sur la nutrition, la micro-nutrition qui nous donnent la composition micro-nutritionnel pour les différentes équilibres , la physiologie, nous apporte des réponses claire et précises.


Au niveau physiologique nous observons que  la taille de nos reins ne nous permet pas de neutraliser trop d'acide fort, la longueur de nos intestins est très différente de celle des carnivores, des herbivores, la forme de nos dents ETC.... donc ne sommes pas des carnivores, des herbivores !!! ni des mangeurs de graines.


Les hominidés dont nous faisons partie se sont séparés des grands singes il y a environ 9 millions d’années. Le primate le plus proche de l’Homme est le chimpanzé (Pan Paniscus, bonobo, et Pan troglodytes, chimpanzé commun). Forts de ce constat, de nombreux sites Internet affirment haut et fort que nous sommes frugivore, des végétaliens etc...

 
Pour finir de nous convaincre, ils présentent différents tableaux d’anatomie comparée entre les carnivores, les herbivores, les singes et l’homme.

 
On peut y lire par exemple que la longueur de notre intestin ou que notre dentition sont comparables à celles du singe, donc que nous devrions manger comme lui, c’est-à-dire uniquement des légumes, des fruits et quelques noix.

 
Pourtant, lorsqu’on recherche des sources sérieuses de ces affirmations dans les livres de science, impossible d’en trouver les preuves ! 


En 1996, un groupe de chercheurs de l’American Society of Mammalogists, la plus grande institution au monde dédiée à l’étude des mammifères, publie un livre consacré à l’étude du chimpanzé commun (Pan troglodytes) [13]. 


On peut y lire à propos de la dentition de ces animaux : « Les canines sont proéminentes, en particulier chez les mâles. » Or les canines ont une fonction très précise : arracher la chair animale. 


Les herbivores n’en possèdent pas. 


En fait  contrairement à une idée reçue, le chimpanzé n’est pas végétalien, il est omnivore. Les chercheurs expliquent que quand il vit librement dans la nature, le chimpanzé « consomme en moyenne 65 gr de viande par jour pour un adulte », principalement obtenue par la chasse (petits singes, termites) [14] [15].


Après notre séparation des grands singes il y a environ 9 millions d’années, notre alimentation était donc déjà omnivore, mais n’incluait que de faibles quantités de produits animaux. 


Au fil du temps, notre alimentation est devenue plus carnée, pour des raisons d’adaptation évidentes : lorsque nous avons commencé à nous éloigner de l’Afrique et de son climat favorable, nous avons consommé des quantités de produits animaux de plus en plus importantes, en particulier pendant l’hiver où la disponibilité des végétaux est faible vers le nord. 

Cette quantité a atteint des extrêmes à certains endroits du globe comme dans les terres les plus nordiques, ainsi qu’en témoigne l’alimentation des Eskimos Inuits traditionnels composée à plus de 90 % de produits animaux. 


Grâce à des travaux publiés en 2003 par une équipe de chercheurs sud-africains, on estime que cette augmentation de la consommation de viande a débuté il y a environ 2 millions d’années.

 
Les chercheurs décrivent cet ancêtre comme « hautement opportuniste » et « adaptable dans ses habitudes alimentaires » [16]. À la même époque et au même endroit apparaissaient les premiers outils en pierre [17], utilisés pour désosser et découper les carcasses animales [18]. Des outils similaires ont été retrouvés en Géorgie et au nord de la Chine [19] [20].

Mais bien qu’on sache maintenant avec certitude que la consommation de produits animaux est allée croissant au cours de notre histoire, les technologies actuelle  nous permettent de déterminer  quelle proportion de l’alimentation représentaient les produits carnés.


Mais peut on comparer la viande de cette époque à celle d'aujourd'hui ?
La viande consommée aujourd'hui est majoritairement issue d’élevages intensifs dans lesquels les animaux sont bourrés d’antibiotiques et nourris aux céréales riches en acides gras oméga-6 pro inflammatoires, comme l’acide arachidonique, qui augmentent nettement le risque de cancer et de maladies cardiaques.

Cela contrairement à l’alimentation normale des bovins qui est de brouter de l’herbe, ou à celle des volailles qui est de picorer des vers de terre, des escargots, des plantes , racines, graines, mais très peu ou jamais de céréales. Ainsi, le poulet « élevé au grain » est-il un contresens.


Pourquoi l’homme est omnivore
L’adaptation de l’homme aux produits animaux peut aussi être révélée par les données de la génétique et de la biochimie :


L’homme est dépendant des apports en acides gras oméga-3 à chaînes longues (EPA et DHA) qu’on ne retrouve que dans les graisses animales. 


Le DHA, en particulier, est vital pour le bon développement du cerveau de l’enfant pendant la grossesse et pour la santé de ses yeux. 


L’être humain est capable de synthétiser l’EPA et le DHA à partir de l’ALA, un autre oméga-3 à chaîne plus courte présent dans les végétaux, mais uniquement en quantité infime (autour de 5 %) [21] [22]. Ce point nous est commun avec les animaux carnivores comme les félins [23].


L’être humain ne produit que de petites quantités de taurine, un acide aminé dit « semi essentiel » [24] [25], abondant dans tous les produits animaux. Sur ce point nous sommes véritablement « omnivore » : alors que les herbivores n’ont pas besoin d’apports alimentaires, les carnivores comme les félins en dépendent exclusivement [26] [27]. 

Les études menées sur des populations végétaliennes révèlent des niveaux de taurine anormalement bas [28] [29] qui pourraient accélérer le vieillissement, impacter le système cardiovasculaire [30] [31] et surtout ralentir l’adaptation des muscles à l’exercice physique [32] [33].


L’être humain est capable de synthétiser la créatine dans son organisme, une substance nécessaire pour fournir de l’énergie aux muscles lors des efforts de courte durée et de haute intensité. Mais on estime aujourd’hui que cette substance est semi-essentielle : pour couvrir nos besoins, 50 % de la créatine doit être apporté par l’alimentation. Les végétariens (et a fortiori les végétaliens) ont des niveaux sanguins de créatine anormalement bas [38] [39].

De plus, lorsqu’on supplémente des omnivores et des végétariens avec de petites doses de créatine, ces derniers voient une amélioration de leurs performances intellectuelles en ce qui concerne notamment la mémoire de travail (le cerveau utilise aussi la créatine pour fonctionner), alors que cette supplémentation n’a pas d’effet chez les omnivores qui ont déjà des taux normaux de créatine [40] [41].


En définitive, l’appellation « omnivore » correspond bien à l’être humain : aucun animal ne peut se vanter d’une telle capacité d’adaptation à son environnement et notre alimentation a toujours été constituée d’un mélange d’aliments d’origine animale et végétale. Si l’on conçoit que l’homme n’a jamais été végétarien, comment se fait-il qu’on entende régulièrement qu’une alimentation végétarienne est meilleure pour la santé ? Est-ce la réalité ?


Mais avant le début de l’agriculture, à l’époque de la pierre taillée (Paléolithique), c’est-à dire entre 3 millions d’années et 12 000 ans avant J-C, jamais l’homme ne mangeait de charcuteries, jamais il ne mangeait de sel et jamais il ne mangeait d’animaux d’élevage malades. 


Or on sait maintenant avec certitude que l’excès de sel associé à une faible consommation de végétaux est la cause majeure de l’hypertension artérielle [42], qui augmente  de manière très importante le risque de crise cardiaque [43] et d’accident vasculaire cérébral [44]. 


Dès lors, on peut s’attendre, avant même d’avoir lu la moindre étude, à ce que le régime végétarien, sans viandes modernes et avec plus de fruits et légumes soit meilleur pour la santé. C’est ce que constatent les études sur les végétariens et les végétaliens [45]. 


Ces avantages du régime végétarien ne tiennent pas à l’absence en soi de viande, mais à l’absence des produits nocifs en général associés à la viande, ainsi qu’à la mauvaise qualité de la viande actuellement consommée.


En effet, votre corps, et en particulier votre système digestif, ne sont pas adaptés au mode de vie et à l’alimentation moderne. Ces 10 000 dernières années, qui nous paraissent si longues, sont en fait très courtes par rapport à l’échelle de la création du Monde. 

Elles sont en tout cas beaucoup trop courtes pour avoir permis une évolution de nos organes.


Ce qui veut dire que nos organismes sont bien mieux adaptés à l’alimentation de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs qu’à la diète moderne basée sur les céréales qui n’étaient pas cultivées à leur époque.


Cela explique que de nombreuses maladies (diabète, maladies cardiaques, arthrose, ostéoporose, dépression) peuvent être maîtrisées en adaptant une alimentation, et si possible même un mode de vie, paléo. D’autres maladies, comme certains cancers, peuvent être prévenues par cette alimentation.


Il s’agit là d’une des pistes les plus intéressantes de la recherche actuelle en santé naturelle.
En conclusion, effectivement notre alimentation originelle est similaire aux singe cités, et en conclusion nous sommes des omnivores.
Sauf que les grand singes ne cuisent pas leurs alimentation, nous allons voir ci celle-ci permet de conserver la qualité de nos aliments.


Cependant d'autres études faites sur la cuisson des aliments montrent clairement que la cuisson dénature la qualité nutritive de nos aliments, 40° destruction des enzymes, 60°/75° destruction de la vitamine C, 70°/100° hydrolyse et coagulation des protéines, 90°/95° disparition des vitamines A/B, 100° précipitation des sels minéraux et oligo-éléments, 110° destruction des vitamines E/D/K, 120° destruction des dernières vitamines, les graisses se décomposent en glycérines ainsi qu' en molécules nouvelles ( goudron, benzopyrènes), 140° les fruits et légumes ne sont plus que de la cellulose indigeste (cocotte minute).


Lorsque les aliments avec des protéines et des glucides sont chauffés, cuits avec des matières grasses les molécules se choquent à d'autres structures pour former de nouvelles combinaisons complexes qui n'existent pas à l'état naturel qui peuvent être toxiques voire cancérigènes étude réalisé par le chimiste Hervé THIS, rappel nos enzymes digestives ne reconnaissent pas des molécules qui n'existent pas à l'état naturel.


La cuisson altère les micro-nutriments et accélère la vibration moléculaire des aliments et les minéraux s'échappent des structures complexes auxquelles ils étaient associées, ces minéraux deviennent libres et redeviennent à leur état brut c'est à dire inorganique de ce fait ils ne peuvent plus se combiner à d'autre substance, vitamines, enzymes et acides aminés, une accumulation de ces sels minéraux provoque le durcissement des tissus et la sclérose des artères. Etudes faites par Edmond Bordeau Zhékély.
les pratiques culinaires à risque: 


la coloration ou caramélisation ( le rôti du poulet ou des viandes rouge, ou la panure, la croûte du pain et des bon croissants au beurre, le déglaçage, les aliments torréfiés aussi) .......


Les cuissons à haute température comme la cuisson au four, qui n'a pas lu dans son livre de recettes " faire chauffer le four à 220°" ? est ce bien raisonnable ? que penser par exemple d'un pavé de saumon qui contient des oméga 3 à de telle température ? je vous laisse me donner la réponse = rien de bon, le four est un outil incontournable pour la cuisine mais les cuissons à de telles températures sont délétères à la santé, cuisez vos aliments avec une température ne dépassant pas 110°, ou bien en chaleur humide avec un maximum de 90°.


Personnellement je cuits mon poisson à 80°.


La cuisson à l'aide de film alimentaire: vous êtes vous déjà demandé comment une feuille de plastique pouvait être aussi étirable ? et c'est à l'adjonction d'une grande quantité de phtalates, c'est entièrement antinaturel et toxiques, ils ont des effets néfastes sur la fertilité en diminuant la mobilité des spermatozoïdes et perturbent également le développement fœtal, éviter le contact avec le film d'aliments gras et en aucun cas cuire les aliments emballés dans ce matériau. (chez nous c'est pareil se sont nos tissus gras qui captent le plus de molécules toxique, foie).


La cuisson semble tout à fait banale et pourtant elle aboutit à une transformation et dénaturation profonde des aliments, tous les modes de cuissons occasionne une élévation thermique obtenue par agitation des molécules de l'aliment, sur le plan vibratoire et énergétique les aliments cuits sont dévitalisés, et je vous rappelle que les enzymes digestives n'agissent que sur les substances originelle et ces nouvelles molécules ne sont pas reconnus par le corps car elle n'existe pas dans la nature.
On parlé de la cuisson des aliments, et nous constatons que celle-ci dénature les nutriments qui la compose, mais il y a un autre phénomène lié à la cuisson, c'est la réaction de notre système immunitaire lors de l'ingestion d'aliments cuits, on parle alors de la leucocytose ou hyper leucocytose digeste .


Leucocytose normale : 5 à 7 000 globules blancs (leucocytes) 


Leucocytose après ingestion : --de légumes ou fruits crus : leucocytose normale 
–de légumes cuits à la vapeur : hyper leucocytose modérée : 10 à 12 000 
–cuits à l’autoclave (cocotte minute) :  hyper leucocytose forte à 20 000 et plus en quelques minutes. 


–les charcuteries, conserves, sucre raffiné, vin, vinaigre, provoquent également une hyper leucocytose forte


--légumes crus en début de repas + légumes cuits à la vapeur ensuite : leucocytose normale. 


--légumes cuits + légumes crus (salade en fin de repas) : hyper leucocytose modérée 
--légumes crus + légumes cuits à l’autoclave (cocotte minute) : hyper leucocytose très forte  1520000.


Donc en résumé nous voyons que la cuisson dénature la qualité de nos aliments et que la cuisson fait réagir notre système immunitaire.
 

Au niveau de nos besoin micro-nutritionnel étude de la micro-nutrition en étudiant les 7 piliers de la micro-nutrition, E microbiote, E oxydo-inflammatoire, E mitochondrie, E AGE, E acido-basique, E détox,  E neuromédiateur.


l'équilibre du microbiote intestinal nous avons besoin de fibre ( prébiotiques) de zinc nécessaire à la synthèse des protéines de jonctions, nécessaire à la multiplication des entérocytes (cicatrisation et reconstruction) et de la glutamine un acide aminé substrat énergétique des cellules intestinales, la glutamine est sensible à la chaleur et à l'acidité.
L'équilibre oxydo-inflammatoire ( neutralisation du stress oxydatif produit par les radicaux libres .


l'origines du stress oxydatif: la respiration mitochondriale, les infections, inflammation (tabac), détoxination, médicaments, produit chimiques divers, stress, dysnutrition, l’exposition exagéré au soleil, l'exposition au rayon X etc...


Pour neutraliser le stress oxydation nous avons besoins , de sélénium, magnésium, zinc, le cuivre, le manganèse, le chrome, les polyphénols, les flavonoïdes, et vit B1, B2, B6, B9, B12, C et E + acide lipoïque très sensible à la chaleur comme les vitamines du groupe B et le magnésium. 


L'équilibre de la mitochondrie, nous avons besoins de l'acide lipoïque, les vit B1/2/3/5/8/9/12 très sensible à la chaleur et Q10.
L'équilibre AGE, nous avons besoin de l’oméga 3, très sensible à la chaleur.
L'équilibre acido-basique nous avons besoin de potassium, de calcium, et de magnésium.


Ces minéraux sont détruits à 100°, donc la cuisson vapeur et conseillé.


Note: il faut 600gr de fruits et légumes pour un apport de 60gr de protéines, nous sommes loin du compte. Nous consommons beaucoup trop de protéines, à savoir que le corps nous en apporte 65gr par jour.


L'équilibre Détox, il nous faut assurer cet équilibre qui comprend deux phases: 
1( blocage de l'entrée des xénobiotiques, matières toxiques qui viennent de l'extérieur,  par les poumons, la peau, la muqueuse digestive, 


2) pour neutraliser les toxines par le renforcement des barrières naturelles
Nous avons besoin des prébiotiques, des antioxydants, des acides gras essentiels, du calcium, la vitamine C, le sélénium, du zinc, du magnésium, et du silicium, vit B6/9/12 .


L'équilibre neuromédiateurs (dopamine, sérotonine, gaba, acétylcholine)pour leurs synthèse,  il faut des précurseurs comme la L tyrosine, L tryptophane, L glutamine qui sont des acides aminés mais aussi des lipides comme la choline et la sérine qui sont détruites par la chaleur, mais aussi des minéraux comme le fer, le magnésium, le cuivre, le zinc, et des vitamines comme la vit B1/B3/B6/B9/B12 qui sont très sensible à la chaleur sauf la B3, mais aussi de la vitamine C très sensible à la chaleur, et de la vitamine D.


En résumer beaucoup de vitamines et minéraux, acides gras sont très sensible à la chaleur et seront dénaturés par des modes de cuisson ou la température dépassera les 110°, il sera donc important d'avoir un mode cuisson ou la température sera contrôlé et ne dépassant pas 90°, mais il sera aussi important d'avoir des aliments crus car certaines vitamines comme la vitamine C sera détruite à 60°.


Nous avons maintenant par l'étude biologique et physiologique, par l'étude sur la cuisson des aliments, les éléments qui nous indiquent quelle alimentation nous est propre et nous savons aussi comment nous pouvons tirer de nos aliments un maximum de nutriments et de bonne qualité.


Récapitulation: 1) nous savons que nous sommes des omnivores et que notre alimentation est basé sur les fruits et légumes sur quelques produits d'origine animale mais en faible quantité ( reins et intestins), que la cuisson dénature nos aliments, que la cuisson induit des réactions de notre système immunitaire, et nous pouvons en déduire que l'alimentation de l’espèce humaine est composée de fruits et de légumes et que quelques produits animaux et qu'elle doit être crue ou cuite à de faible température. 


D'ailleurs l'alimentation cru et cuite à la vapeur douce à etait mise valeur par de nombreux médecin, comme le docteur Kousmine, Ann Wigmore, Robert Morse, Douglas Graham, Jean Seignalet, Richet, et le célèbre Pierre Valentin Marchesseau qui est le fondateur de la naturopathie contemporaine en France et disait " L'homme en assassinant journellement ses aliments par le feu, entretient un perpétuel attentat contre lui meme".


Le Dr Seignalet a testé l'efficacité du régime ancestral sur 118 maladies, comme la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques ou la thyroïdite d'Hashimoto, pour lesquelles il n'existe pas de traitement curatif mais seulement des traitements qui atténuent plus ou moins les symptômes, sans "guérir la cause". Seignalet a réparti ces maladies en 3 catégories  : maladies auto-immunes, maladies d'encrassage, et maladies d'élimination. 


Pour 91 de ces 118 maladies, le régime ancestral apporte une rémission totale ou une amélioration nette, dans 85% des cas pour les maladies auto-immunes, 92% pour les maladies d'encrassage et 98% pour les maladies d'élimination.


Aujourd’hui elle notre alimentation est de plus en plus cuite, est elle est laissée aux mains des industrie agro-alimentaire, la plus part du cru se résumant souvent à une salade et au mieux un fruit.
 

J'ai donc fait fait un classement de l'alimentation par rapport à ces nouvelles informations.


J ai classé l'alimentation en trois catégorie: de la meilleure à la moins bonne.


1) Les aliments vivants qui sont des produits naturels bruts, frais, non cuits et non transformés, ce sont des aliments qui contiennent le plus d'énergie électromagnétique, et ont une forte densité nutritionnelle (macro et micro nutriments) et densité calorique faible, contiennent de nombreux antioxydants, de bon acide gras essentiels, permettent de conserver un bon équilibre acido-basique ( la majorité sont basifiant), dans cette catégorie les champions sont les graines germés, ce sont de véritable bombe nutritive et un concentré de vie.


Certains légumes sont peu digestes crus, aussi ce sont ceux qui sont agréables crus qui auront la préférence : carotte, oignon, chou-fleur, brocoli, radis, radis noir, poivron (éviter les poivrons verts qui ne sont pas mûrs), concombre, chou vert, chou rouge, chou rave, champignon, betterave rouge, céleri, courgette, fenouil, tomate (mûre et uniquement en pleine saison)… et bien sûr tous les légumes-feuilles : salade, épinard, roquette, mâche, cresson, chicorée… et toutes les plantes aromatiques : persil, basilic, estragon, menthe, coriandre…


2) Les aliments neutres ce sont tous les produits naturels cuits ou qui manquent de fraîcheur, ce sont des aliments qui ont perdu une partie de leur énergie électromagnétique et de leurs vitamines, minéraux et oligo-élément, ils sont loin d’être mauvais pour la santé mais ils n'apportent pas tout ce dont notre corps à besoin pour fonctionner de façon optimale, ils vont nous apporter un carburant de bonne qualité grâce à leurs macronutriments ( protéines, lipides, glucides).
Nous devons le plus possible les associes à des aliments vivants dans la composition de nos repas.


3) Les aliments Morts ou à calorie vide, ils nous apportent des mauvaises graisses et sucres et ont perdu l'intégralité de leurs micronutriments, ils provoquent un effondrement rapide du fonctionnement vital et entraînant le vieillissement prématuré des cellules de notre corps, ces aliments se retrouvent typiquement dans la nourriture industrielle que l'on retrouve en grande surface, ces produits ont subi de nombreuses transformations et sont bien souvent remplis d'additifs alimentaires chimiques, ce sont tous des aliments cuits à haute température ou passés au micro onde.


Pas étonnant de constater l'augmentation massive de nombreuses maladies et de l'obésité quand on sait que notre alimentation est composée principalement des ces aliments morts.


La question qui me vient est la suivante: comment des aliments morts sont ils capables d'entretenir la vie ?


Conclusion: vous n’êtes pas obligés de manger 100% d'aliments vivants pour être en pleine forme, on peut bénéficier des bienfaits de l'alimentation vivante tout en continuant de manger des produits cuits (vapeur) la technique est simple il suffit de mélanger des produits neutres à des produits vivants.


Les aliments vivants auraient en effet la capacité de revitaliser les aliments cuits, les rendant plus assimilables et plus digestes.


Le but n'est pas de manger exclusivement vivant mais d'augmenter progressivement la part qu'ils occupent dans votre assiette.


Nous avons compris que plus de cru dans notre assiette, c’est plus de vie dans notre corps. Cependant beaucoup de personnes qui commencent un régime cru souffrent de troubles intestinaux, de ballonnements, de flatulences… Leur système digestif, affaibli par des années d’alimentation cuite, supporte difficilement l’action puissante des aliments crus.


Il sera donc préférable de les introduire progressivement dans l’alimentation, sous forme de jus au début . 


En effet, rappelons-nous que ce ne sont pas les aliments crus qui ne sont pas bons, mais l’intestin affaibli qui se trouve irrité par trop de fibres. 


La vraie solution n’est donc pas de supprimer tous les aliments crus, mais de restaurer l’intestin pour pouvoir peu à peu bénéficier à nouveau de ces aliments vivants. 


Les 10 clefs de l’alimentation pour être en bonne santé, pour vivre en bonne santé le plus longtemps possible.


1) Limiter voir supprimer les aliments transformés de provenance industrielle.   
2) Consommer plus de la moities de sa nourriture sous forme végétale et biologique.
3) Choisir des aliments à densité calorique faible. 
4) Choisir des aliments à densité nutritionnelle élevée. 
5) Choisir des aliments antioxydants. 
6) Choisir des aliments à index glycémique bas.    
7) Équilibrer les graisses alimentaires.                                                                8) Veiller à maintenir l'équilibre acido-basique. 
9) Réduire le sel.   
10) Cuire de façons à préserver les nutriments et ajouter du cru.


Une règle incontournable et de faire des assiettes simple avec peu d'aliments différents au maximum 4, de consommer une seule catégorie de fruits, de céréales, de légumineuses, de corps gras, la digestion sera plus facile.
 

Les études scientifiques :

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Jean Claude Dosseto
Naturopathe / Nutritionniste / phytothérapeute 

Micro-Nutrition/ Hormono-Nutrition / Oncologie intégrative
Consultation au cabinet ou à distance 
Tel 0641231014 Marseille
jeandosseto@gmail.com

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