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 Naturopathe Nutritionniste Ariège

Naturopathe Nutritionniste Ariège

Jean-Claude Dosseto Expert en médecine Naturelle. Diplômé en médecine fonctionnelle et nutritionnelle, Phytothérapie & Aromathérapie, consultation et formation. Contact : 0641231014 jeandosseto@gmail.com


L'équilibre acido-basique

Publié par jean claude Dosseto/Naturopathe Nutritionniste sur 21 Janvier 2022, 09:38am

Catégories : #Pathologie, #SUPER NUTRIMENTS, #alimentation vivante, #naturopathemarseille, #physiologie

L'équilibre acido-basique

Qu’est-ce que l’équilibre acido-basique ?
L’équilibre acido-basique est un pilier fondamental de notre bonne santé.
Il s’agit de la balance entre le taux d’acidité et le taux d'alcalinité de l'organisme.

Notre équilibre acido-basique est principalement influencé par notre alimentation, chaque aliment étant acide, neutre ou basique.

Selon le type d’aliments qui prédomine dans notre assiette, notre sang et nos tissus sont, eux aussi, plus ou moins acides.

Les éléments utilisés pour la construction de notre organisme et son fonctionnement optimal sont très nombreuses, on retrouve une vingtaine d’acide aminés, des dizaines de sucres différent, des acides gras essentiels, et une quarantaine de minéraux, oligo-éléments et vitamines.

Ces substances peuvent être classées en deux groupes distincts :
Les substances basiques ( ou alcalines)
Les substances acides
Ces deux genres de substances ont des caractéristiques opposées, mais elles se complètent.
Pour être en bonne santé, notre organisme aura besoin autant des unes que des autres, présentes en quantité égales, l’équilibre existant entre les acides et les bases, cet équilibre entre les acides et les bases s’appelle l’équilibre acidobasique.

Un équilibre vital
L’équilibre acido-basique est un équilibre vital pour le bon fonctionnement
cellulaire.

Lorsque le terrain s’acidifie, nous pouvons tomber malade, cet équilibre acidobasique est indispensable pour assurer :

- Les réactions enzymatiques
- La communication cellulaire
- Les échanges cellulaires
- Le métabolisme cellulaire

Ces processus métaboliques en cas d’acidose seront altérés, l’altération est principalement due à la réduction de l’activité enzymatique, à l’agression des tissus et organes face aux acides présents en surnombre, et à la déminéralisation de l’organisme.

Les organes contribuant à l’équilibre acido-basique

 

Quelques définitions
H2O = l’eau (neutre)
H+ = ion acide ou proton
OH- = ion alcalin ou anion

Acidémie = augmentation de la concentration d’ions H+ dans le sang
Alcalémie = diminution de la concentration d’ions H+ dans le sang
Acidose = processus qui tend à produire une acidémie
Alcalose = processus qui tend à produire une alcalémie

Ne pas confondre l’acidose métabolique qui concerne le sang et l’acidose tissulaire.
Un acide est une molécule qui libère un ion H+ (HCI, H2SO4, H3PO4).
Une BASE est une molécule qui capte un ion H+.

Comment mesure-t-on l’acidité ?
On utilise comme échelle de mesure le pH, qui mesure et différencie le degré d’alcalinité ou d’acidité, on utilisera l’abréviation pH.

pH = potentiel en hydrogène

Cette valeur se mesure sur une échelle de 0 à 14.

Le pH 7 est considéré comme neutre, et indique un équilibre entre les acides et les
bases.

 

Les différents pH de l’organisme
Le pH du sang doit être stable et toléré peu de variation, il doit impérativement rester entre 7,32 et 7,42, en dessous ou au-dessus la vie est impossible :

- pH 6,95 = coma et arrêt cardiaque mort
- pH 7,7 = tétanie, angoisse, convulsion, mort

Le Ph urinaire avec une bonne hygiène alimentaire et en bonne santé doit se situer entre 6,5 et 7,5.

- Le pH de la peau est de 5,2                   

- Le pH de l’estomac est de 2
- Le pH du grêle est de 6
- Le pH du côlon est de 8 


Les acides forts et faibles
Il existe deux principaux acides :

Les acides faibles : acides citrique, oxalique, pyruvique, ils proviennent des
protéines végétales et des hydrates de carbone, leurs éliminations se font par les
poumons (H2O et CO2), il n’y a pas de limite à ce système, pas d’accumulation, si la
personne est en bonne santé.

Les acides forts : acides urique, phosphorique, sulfurique, ils proviennent des
protéines animales en majeure partie, leurs neutralisations se font par le foie et par les
reins, la peau (glandes sudoripares), il y a une limite de cette élimination, l’excédant
s’accumule dans nos tissus.

Comment le corps se défend face à l’acidification ?
L’élimination des excès des acides se fait par les émonctoires : poumons et reins.
La voie la plus rapide pour éliminer un brusque apport d’acides sont les voies respiratoires,
par oxydation les acides peuvent alors être rejetés à chaque respiration sous forme de gaz
carbonique et de vapeur d’eau, pour éliminer plus il suffit d’augmenter l’amplitude et le rythme
des mouvements respiratoires pour intensifier cette élimination. Mais ce processus ne
concerne que les acides faibles.

La voie pulmonaire est donc la voie la plus rapide, mais ne concerne que les acides faibles
volatils.

Quant aux acides forts (non volatils) ils ne sont pas éliminés par les poumons sous forme de
gazeuse, mais sous forme solide par les reins, cependant cette voie à des limites,
l’excédent sera stocké dans nos tissus.

La stabilité du pH plasmique est assurée par ce que l’on appelle le système tampon.

La régulation du Ph dans l’organisme

 

 

Mésenchyme
Le mésenchyme est le plus important système tampon de l'organisme.

Sa structure particulière lui permet d’être conçu comme une sorte d'éponge métabolique qui entrepose les déchets métaboliques dus à une arrivée ou à une production trop importante d’acidité ou par une capacité d’élimination dépassée.

Trop d’acidité entraîne une souffrance cellulaire des organes cibles baignés par ce liquide, de mauvais échanges tissulaires, une irritation tissulaire allant même jusqu’à une dégénérescence, par la modification de l’état colloïde (sol) du mésenchyme vers un état (gel) où les échanges diminuent : anoxie, malnutrition, auto-intoxication, mort cellulaire ….

Rythme circadien et équilibre acido-basique

1) Phase diurne

2) phase nocturne

 

Comment l’organisme s’acidifie ?

 

Conséquences d’une acidose tissulaire

 

Conséquences de l’acidose

La première est liée à l’activité des enzymes :

Les enzymes ne peuvent travailler correctement que dans un environnement au pH bien
défini. Dans le cas contraire, leurs activités sont perturbées et peuvent même s’interrompre
complètement, les maladies apparaissent sur de simple ralentissement enzymatique,
lorsque l’activité enzymatique s’arrête, le corps meurt.

La seconde est liée à l’agression des tissus et organes par les acides en surnombre :

Il en résulte des inflammations parfois douloureuses, et peut scléroser ou léser les tissus des organes éliminateurs comme la peau et les reins, (la peau est le troisième rein!!).

La troisième est liée à la déminéralisation de l’organisme :

Puisque le corps cède le peu de minéraux alcalins pour neutraliser les acides, n’importe quel organe peut être touché par la déminéralisation, les troubles les plus connus touchent le squelette et les dents.

Attention sans magnésium pas d’activation et de régulation de la vitamine D !!!!!

Troubles fonctionnels et pathologies 

 

Évaluation de l’équilibre acido-basique

État général : manque d’énergie, perte de tonus physique et psychique, difficulté de récupérer après l’effort, sensation de froid, tendance aux infections….

État physique : perte de l’entrain et joie de vivre, irritabilité, sensibilité nerveuse…
Tête : sensibilité au niveaux des yeux, pâleur, maux de tête…..

Bouche : caries, aphtes, dents sensibles au chaud et froid, déchaussement des dents, gencives
sensible, lèvres fissurées….

Estomac : renvois acides, spasmes et douleurs….

Intestins : brûlure rectale, décoloration des selles (épuisement hépatique)….

Reins, vessie : urine acide, irritations et brûlures vésicales et utérales, polyurie par irritation rénale…

Voies respiratoires : goutte au nez, sinusite, bronchites, rhumes, angine, toux, tendance allergique, sensibilité des voies respiratoires….

Peau : sueur acide, peau sèche, irritée, mycose, urticaire, démangeaisons, eczémas….

Ongles : cassent, dédoublement, amincissement, striures, taches blanches….

Muscles : crampes et spasmes, sensibilité musculaire, lumbago, torticolis….

Système osseux et articulaire : ostéoporose, tendance aux fractures, blocages vertébraux, rhumatisme, arthrose, arthrite, sciatique, hernie discale, inflammation des ligaments…..
Système circulatoire : hypotension, mauvaise circulation, frilosité, tendance à l’anémie et
hémorragies…

Glandes endocrines : épuisement ou hyperactivité, thyroïde….

Système nerveux : sensibilité à la douleur, insomnie…..

Qui souffre d’acidose ?

Une grande partie de la population est concernée par des troubles de l’équilibre acidobasique,
c’est notre mode vie actuel qui favorise l’acidification du terrain.

Notre alimentation moderne courante est principalement composée d’aliments acidifiants
(aliments raffinés, produits laitiers, céréales, viandes..) en ajoutant le tabac, la café, l’alcool,
pris en fortes proportions.

Le stress, la nervosité, le bruit, l’hyperstimulation physique et mentale…

L’exercice physique qui souvent pratiqué de manière excessive + une alimentation
acidifiante, le sport qui normalement devrait permettre un bon équilibre acido-basique produit
l’effet inverse…

De tous ces facteurs d’acidification, le plus important est l’alimentation, ce déséquilibre pourrait être corrigé par uniquement l’alimentation, sauf pour les personnes qui souffrent de maladies métaboliques et de faiblesse face aux acides alimentaires.

Comparons l’alimentation du chasseur-cueilleur à nos jours.

Du régime paléo à aujourd’hui

Conclusion

 

Comment déterminer si un aliment est acide ou alcalin.

Le caractère acidifiant ou alcalinisant d’un aliment dépend de sa composition nutritionnelle et
principalement de sa composition en minéraux et de sa teneur en protéines.

L’indice PRAL :

PRAL est l’abréviation de Potential Renal Acid Load, ce qui signifie en français « charge
rénale acide potentielle ».

L’indice PRAL a été mis au point par le Dr Thomas Remer, spécialiste de l’équilibre acide base
à l’Institut de recherche pour la nutrition des enfants à Dortmund en Allemagne.

Cet indice, qui s’exprime en milliéquivalents (mEq), évalue la charge acide (ou alcaline) générée
dans l’organisme par 100 g d’aliment. Il résulte d’un calcul un peu compliqué qui tient compte
des quantités de minéraux alcalinisants d’un côté et des quantités de minéraux acidifiants et
de protéines de l’autre.

L'indice PRAL est très utile, car il permet de quantifier l’influence de 100 g d’un aliment sur
l’équilibre acide-base.

 

Aliments acides ≠ acidifiants.

Les aliments de type fruits et légumes aux goûts acide ne sont pas acidifiants !!!!

Il s’agit d’acides organiques, de type citrique, malique, qui se transforment au contact de
l’acide chlorhydrique de l’estomac en hydrogénocarbonates (citrates) et participent aux
système tampons.

Excepté pour les gens en acidose tissulaire, qui ne métabolisent plus les acides faibles volatils correctement, ces acides non métabolisés seront traités par les reins, si c’est possible ou stockés dans les tissus de l’organisme !!!

Les minéraux alcalins
Les minéraux de l’équilibre acido-basique

LE CALCIUM : Minéralisation osseuse, contraction musculaire, signalisation intramusculaire
Le calcium est le sel minéral le plus abondant dans le corps humain après l’oxygène, le carbone, l’hydrogène et l’azote. Il représente plus d’un kilo du poids corporel ! Ses fonctions physiologiques sont si importantes qu’en cas de carence, les os et les dents, où il se trouve à 99% et pour lesquels il assure solidité et rigidité, se décalcifient pour en assurer un apport. Il est donc essentiel de veiller à une couverture permanente et suffisante des besoins en calcium à tous les âges de la vie.

LE MAGNÉSIUM : Contraction musculaire, cofacteur enzymatique, synthèse des protéines et acides nucléiques
Le magnésium est un métal alcalino-terreux essentiel au bon fonctionnement du corps humain. Il est présent à 60% dans le squelette et les dents, et à 28% dans les muscles. Le reste est réparti dans le système nerveux, les organes clés, ainsi que dans le sang sous la forme d’ions. Le magnésium intervient dans plus de trois cents réactions chimiques dans l’organisme et participe activement à la production d’ATP (l’énergie cellulaire).

LE POTASSIUM : fonctionnement enzymatique, maintien du volume cytoplasmique, équilibre acide-base Minéral essentiel, le potassium contribue au bon fonctionnement du système nerveux, à une fonction musculaire normale, au maintien d’une pression sanguine normale et il prévient l’ostéoporose. Les besoins recommandés pour un adulte s’élèvent entre 4 et 5 grammes par jour. Dans l’alimentation, on le trouve principalement dans les légumes secs (lentilles, haricots blancs), les légumes à feuilles vertes, les fruits (bananes, abricots, cassis) et
les fruits secs (dattes, figues).

Mais sous quelle forme ?

 

Il est donc important de bien saisir toute la complexité du problème de l'absorption des minéraux pour comprendre que la prise non réfléchie et systématique de complément alimentaires variés à base de minéraux ou de vitamines n'amenant qu'un seul minéral ou une seule vitamine est un jeu très dangereux. Une longue pratique thérapeutique et une prescription systématique de compléments naturels (mélanges) plutôt que synthétiques (produits purs) doit donc être la règle d'or en ce domaine, pour traiter les déséquilibre du terrain.

Quelques-unes de ces interactions sont représentées dans le diagramme, les flèches
indiquant des antagonismes entre les différents minéraux pour l'absorption intestinale.

                                                                                            PR MARC HENRY Professeur Des Universités, Strasbourg Absorption intestinale

Le naturel s’impose !
Pour corriger un déséquilibre acido-basique, il sera important de privilégier les substances
alcalines naturelles, contenant des citrates de potassium, de calcium, de magnésium, contenues dans les fruits et légumes frais, l’eau de mer en isotonique, les orties, les jus d’herbes d’orge ou de blé.

Personnellement, j'utilise le plasma marin CSBS https://www.csbs.fr/

 

Comment utiliser ces superaliments

Les jus de légumes : consommer des jus de légumes tous les jours pendant 3 mois, faire
une pose puis reprendre 3 mois, le volume devrait être idéalement de 40 cl minimum à 75
cl maximum.

Le plasma Marin : le consommer dilué en isotonique, faire plusieurs cures dans l’année  de 1 mois et 1 semaine = 6 litres d’hypertonique, consommer tous les jours deux fois 15 cl
de plasma en isotonique, une verre le matin 15 cl et un verre le soir 15 cl.

La cure d’ortie : je vous conseille d’utiliser de la poudre de feuilles d’orties et de
consommer dans vos repas de 3 à 6 gr de poudre par jour, sur des périodes de 2 mois en
faisant des pauses d’un mois.

Les jus d’herbe de blé ou d’orge : je vous conseille de consommer de 3 à 6 voir 9 gr de
poudre par jour, diluée dans l’eau, 3 gr dilué dans 100 ml d’eau, une à deux voir trois fois
par jour maximum, faire des cures de un mois, une pose puis reprendre la cure.

Pour une bonne reminéralisation, il faut au moins un an de cure voir plus !!!

Avec des compléments alimentaires.

Lorsque la personne ne peut utiliser les jus de légumes, de blé ou d’orge, le plasma
marin, les orties, il est possible d’utiliser des formules toutes prêtes dans les bonnes
proportions, c’est plus de sécurité, personnellement, je les utilise sur de courtes périodes et
pas pour faire un travail de fond, mais débloquer des situations rapidement.

 

L'assiette contemporaine

 

Correction dans l'assiette 

 

Le test du pH urinaire est-il fiable ?

Personnellement, je ne l’utilise pas, je préfère me référer à la physiopathologie, à l’analyse clinique et questionnaire spécifique, le test pH peut être un bon indicateur, mais il n’est pas facile toujours d’interpréter les résultats.

1) Le stress chronique : nous avons une fuite minérale de magnésium dans les urines.

2) Autre cas que l’on retrouve souvent chez les gens acidifiés présentant un test alcalin,
cela s’explique par le prélèvement surabondant de bases dans les tissus organiques qui
confirment une forte acidification du terrain.

3) La consommation excessive de poudre alcaline, de jus, d’ortie, de légumes, présentera
un test alcalin alors qu’il y a une acidose tissulaire.

4) Fuite urinaire de calcium par carence de vitamine D, mais aussi lors de stress chronique.

Le drainage des acides.

Les possibilités d’élimination des acides étant différentes selon leur caractère fort ou faible,
nous allons aborder le drainage des acides par les reins et la peau avec la phytothérapie.

Durée des cures : aussi longtemps que l’organisme en aura besoin pour retrouver un
équilibre acido-basique correct, le temps sera variable d’une personne à l’autre, en général
elle peut s’étendre sur 6 mois à 2 ans.

Pourquoi est-ce aussi long ?

Pour parvenir aux reins et à la peau, les acides logés dans les tissus doivent d’abord pénétrer dans le sang, puis être conduit par le sang jusqu’au filtre rénal et cutané.

Hors le sang, souvenez-vous, il ne peut traiter trop d’acide à la fois, son pH risquerait de s'éloigner de trop de ces valeurs de norme, ce qui mettrait en danger et menace la sur-vie de l’organisme.

Drainage par les reins.
Les plantes diurétiques vont pouvoirs être utilisées et surtout à dosage correct pour avoir de bons résultats (voir les urines plus chargées et plus odorantes), les cures doivent s’étendre de 4 à 6 semaines et être renouvelées dans le temps après des poses de deux semaines, pensez aussi à changer de plantes de cures dans l’année.

La phytothérapie pour le drainage des acides par les reins :
- Cassis : (feuilles)
- Artichaut : ( les feuilles)
- Queue de cerises (les pédoncules)
- L’ aubier de tilleul : excellent draineur des acides (dissout les calculs)
- La piloselle
- La busserole
- Le chiendent
- Le frêne : bon éliminateur des acides
- Les stigmates de maïs
- l’ortie (feuilles)

On pourra faire des mélanges de ces plantes comme : solidago + frêne + pariétaire.
Ou cassis + orthosiphon+chiendent.

Drainage des acides par la peau

Les glandes sudoripares agissent comme de simple filtre sur les acides et les toxines
charriés par le sang.

Les plantes que nous allons utiliser sont dites sudorifiques, car elle augmente la sécrétion
de sueur et à déboucher les pores bouchés.

QUELQUES PLANTES MÉDICINALES SUDORIFIQUES :
- Le sureau : (les fleurs sont sudorifiques et diurétiques)
- Le tilleul : feuilles
- La bardane
- La pensée sauvage

On pourra rajouter des bains hyperthermiques, le sport, pour favoriser la transpiration.

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Jean Claude DOSSETO Naturopathe Nutritionniste

Spécialisé et diplômé en Médecine Fonctionnelle et Nutritionnelle, phytothérapie, nutrithérapie. 

Tel : 06.41.23.10.14

Email : jeandosseto@gmail.com

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